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Dans mon appartement actuel, il y a des tasses, des gobelets et des plateaux de la marque Banania. C’est un spectacle assez choquant, littéralement le visage de notre Pete noir. J’avais des bandes dessinées de Sjors et Sjimmie, Sjimmie étant l’ami noir un peu plus simple de Sjors. Les dessins étaient très caricaturaux.
Le racisme n’est pas nécessairement une chose visible pour moi à Paris, mais le soi-disant privilège blanc et l’arrogance qui l’accompagne sont palpables.

Ainsi, rien que le nom de Banania – n’en parlons plus – avec des représentations essentiellement stéréotypées depuis 1912. Il est intéressant de noter que cette marque semble avoir été critiquée pour cette raison depuis un certain temps. Je l’ai fait remarquer à la loueuse, qui s’est excusée en disant qu’il s’agissait d’un ensemble vieux de 50 ans. Elle était également un peu fière de ce bien. Elle m’a remercié pour ma contribution et c’est tout.
J’ai donc rangé l’ensemble quelque part au fond du placard à balais.

Le balai est passé par là, allons-nous un jour nous débarrasser de ces icônes insultantes ? Au fait, ce qu’il y a de bien à Paris, c’est qu’ils nettoient les rues le long des trottoirs. Quelque part, on ouvre un robinet et l’eau coule le long du trottoir. Tous les déchets sont sur le chemin. Personne ne regarde ce qui est emporté, pas de faux sentiments.
Pour un nouveau départ.

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